Centre d'accueil des Français d'Indochine à Sainte-Livrade-sur-Lot
Restructuration du centre d'accueil des Français d'Indochine

© Ville de Sainte-Livrade
Le projet en bref
Frise chronologique
A retenir
94 logements réhabilités après démolition et reconstruction
Montage du projet
Modalités d'intervention de la Banque des Territoires
Prêt sur fonds d'épargne pour un montant financier de 4 500 000 €TTC
Zoom
Le Centre d’accueil des Français d’Indochine (Cafi), auparavant dénommé Cari (Centre d’accueil des rapatriés d’Indochine), renvoie à un épisode singulier de l’histoire de France.
La défaite de Dien Bien Phu et les accords de Genève en 1954 mirent un terme à la guerre d’Indochine. En 1956, les réfugiés sont accueillis sur la commune de Sainte-Livrade, dans un camp qui compte plus de 1 200 personnes, dont 740 enfants. Les habitants entretiennent du mieux qu’ils le peuvent leur petit coin de terre indochinoise et se rattachent à cette terre livradaise qui est leur terre d’accueil.
En 1981, l'Etat cède le bâti à la ville. En 1999, la municipalité s’engage, avec l’aide de l’Etat par le biais de l'Anru (Agence nationale pour la rénovation urbaine), du conseil général de Lot-et-Garonne, du conseil régional d'Aquitaine et de la Caisse des Dépôts, dans un programme de restructuration du centre.